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Reportage : réalisation d’un système d’irrigation

80 comments on Reportage : réalisation d’un système d’irrigation

Cet article a été écrit par Yves (qui habite dans le Morbihan) et je le remercie d’avoir eu envie de partager tous les détails de son installation.

Vous allez découvrir comment il a réglé le problème de l’arrosage de son potager, avec un système d’irrigation automatique constitué de lignes de tuyaux goutte-à-goutte.

La fin de l’esclavage

Situation de départ
Situation de départ

Ne pas être esclave du potager, c’est à dire pouvoir partir quelques semaines en vacances sans mettre en péril toutes les plantations et :

  • Arroser régulièrement, sans excès.
  • Arroser délicatement chaque plan sans mouiller le feuillage et sans y passer toute la soirée plusieurs fois par semaine.
  • Que chaque rang du potager soit indépendant, afin de pouvoir faire varier au cours de la saison les rangs à arroser, en fonction des impératifs de chaque culture.

Telles étaient les motivations pour concevoir un “arrosage automatique”.

Le potager est constitué de trois carrés de 5m X 4m chacun (60 m2). Le terrain à l’avantage d’avoir un puits profond et presque toujours alimenté.

Situation finale
Situation finale

Quelques impératifs pour la réalisation de l’arrosage :

  • Utilisation de l’eau du puits (ou d’une citerne).
  • Système fiable et robuste.
  • Minimiser l’encombrement des tuyaux à même le sol.
  • Gérer les zones d’arrosage et les débits.

Remarque de Nicolas : Il est tout à fait possible de raccorder un tel système à l’eau de ville. C’est ce que j’ai fait chez moi.

Principe de distribution

Une pompe tire l’eau du puits.

La distance entre le puits et l’espace potager est de

30 m. Le raccordement entre la pompe et le point de départ du réseau enterré  est réalisé par un tuyau d’arrosage (1) standard gros diamètre, tiré sous la haie (pas le courage de faire une tranchée de 30 m).

Sur la surface du potager tous les tuyaux de distribution d’eau sont enterrés. Deux canalisations par parcelle sortent de terre pour constituer des points de départ d’irrigation (2) à (9).

Pour chaque parcelle deux tuyaux sortent de terre sur lesquels est raccordée une lyre de distribution via un robinet d’arrêt.  Chaque parcelle est donc divisée en 8 parties irriguées par des tuyaux fixés au sol. Espace entre chaque tuyau d’irrigation : 60 cm environ.

Vue détaillée
Vue détaillée

Chaque point d’arrosage est constitué;

•    d’un té de dérivation (souterrain),

•    d’un tuyau vertical sur lequel est raccordé un robinet.

Sur ce robinet est vissée une lyre de répartition comprenant 4 départs d’arrosage. Sur chaque départ est vissé un tuyau de cuivre duquel part la canalisation pour l’irrigation des plans.

Jonction
Jonction

La jonction entre le gros tuyau d’arrosage et le réseau enterré

se fait par la pose d’un coude  et d’un robinet d’arrêt général.

Remarque de Nicolas : Mon installation est un peu plus simple : pas de “lyre” ni de robinets, toutes les lignes sont actives en même temps.

Réalisation concrète de la distribution

Tranchées
Tranchées

Une tranchée de profondeur de 40 à 50 cm part du point (1) et distribue les 3 parcelles du potager.  Dans cette tranchée est posé un tuyau utilisé pour les

Tuyau noir
Tuyau noir

canalisations d’eau potable en polyéthylène haute densité 16 bars Diamètre 20 mm (30 m).

Tuyau bleu
Tuyau bleu

Ce tuyau enterré est protégé par une gaine TPC bleu Diamètre 40 mm.

Té
Tranchées
Tranchées

Les dérivations horizontales et verticales des tuyaux enterrés sont réalisées avec des tés en bronze.

Ces dérivations verticales constitueront des points d’eau permettant les départs pour les canalisations d’irrigation.

Dérivations verticales
Dérivations verticales
Dérivations verticales
Dérivations verticales

Protection du tuyau souterrain

Protection
Protection
... du tuyau
… du tuyau

Sous terre le té est protégé par un morceau de tube PVC fendu, percé dans lequel est injectée de la mousse polyuréthane. Le té, le tuyau d’eau et les tuyaux PVC sont pris dans cette mousse.

Pour assurer une certaine rigidité au fond du trou, un mortier est coulé par dessus le tout.

Le tuyau PVC  sort de terre d’environ 35 cm. Le tuyau d’eau est coupé à 3,5 cm du tube PVC.

Vue sous terre
Vue sous terre

Remarque de Nicolas : J’ai personnellement utilisé du tuyau pour arrosage enterré de pelouse (diamètre 32 mm), avec les raccords en plastique qui vont avec. Vu l’épaisseur du plastique, c’est très résistant et il n’y a pas besoin de protection supplémentaire.

Le tuyau d’eau se coupe relativement bien avec un cutter.

Cutter
Cutter
Découpe
Découpe

D’abord piquer l’extrémité pointue du cutter dans le tuyau pour le traverser sur quelques mm.

Puis donner une force sur l’extrémité du tuyau pour le courber légèrement. Avec la lame couper perpendiculairement à la courbure. La coupure est ainsi propre, sans bavure.

Être très prudent car le cutter risque de déraper. Tenez vous bien à l’écart de la lame, dégager bien les jambes du tuyau.

Poser à l’extrémité du tuyau d’eau ainsi coupé un raccord laiton femelle 15×21 – D: 20 mm

Attention: Avant de positionner l’écrou sur le tuyau, prendre soin d’enrouler un fil de fer

autour du tuyau pour empêcher l’écrou de tomber dans le tube PVC. Il serait alors difficile de le récupérer ! (histoire vécue)

Visser ensuite le robinet sur le raccord femelle.

Deux points d’eau par carré sont ainsi sortis de terre soit un total de 6 robinets.

Détails des robinets
Détails des robinets

Le système d’irrigation

Sur chacun de ces robinets sont vissées des lyres de répartition.

Depuis cette lyre de répartition part chaque tuyau d’arrosage qui sert à l’irrigation des plantes.

2 solutions sont possibles :

PVC
PVC

1) Utiliser un tuyau semi rigide Ø extérieur 15 mm Diamètre intérieur 11,5 mm connecté directement sur chaque sortie de la lyre. Dans ce cas il faut utiliser un adaptateur.

Cuivre
Cuivre

2) Créer de grands coudes en cuivre vissé sur chaque sortie de la lyre. Dans ce cas le même tuyau semi rigide s’emmanche directement dans le tuyau de cuivre. Cette solution impose un savoir faire en plomberie, elle facilite la mise en œuvre des tuyaux d’irrigation.

Remarque :

La première année j’ai percé les tuyaux d’irrigation au sol avec un forêt de Ø 4mm. Un trou tous les 50 cm environ. Pour raccorder le tuyau d’arrosage à la pompe et au robinet d’arrêt général, j’utilisais des raccords rapides clipsables. Le résultat n’était pas satisfaisant, la parcelle la plus éloignée était mal irriguée (perte de charge, débit des trous variable) . Il a fallu améliorer ce dispositif

L’irrigation (nouvelle version)

Tuyau diam. 16 mm
Tuyau diam. 16 mm

Réalisée en Tuyau Ø 13 mm Micro-Drip, 30 m.

Le tuyau est emmanché à force dans le tube en cuivre. Puis déroulé sur la largeur de la parcelle. Il est maintenu au sol par des crochets ou des ou piquets en bois réalisés avec des petites branches.

Perçage
Perçage

Tous les 50 cm environ, le tuyau est percé.

Les trous pratiqués avec un forêt  étaient mal calibrés et ces percements généraient des bavures. Résultat les débits n’étaient pas les mêmes d’un trou à l’autre ce qui avait pour effet de déséquilibrer l’irrigation. Certains trous ont un débit important au détriment d’autres qui ne laissent plus passer l’eau.

Emmanchement
Emmanchement

Il faut un calibrage de chaque trou régulier.

Goutteur
Goutteur

J’ai trouvé la solution dans le commerce. Il s’agit d’un goutteur qui se clipse sur le tuyau.

•    Réalisation du trou avec l’outil de perforation adapté

•    Clipsage à force du goutteur sur le tuyau.

Cette solution équilibre parfaitement les débits de chaque trou. J’ai utilisé un goutteur calibré à 4 l/h.

Remarque de Nicolas : Il existe des tuyaux avec goutteurs incorporés (tous les 50 cm ou 33 cm). L’avantage, c’est que rien ne dépasse et que les goutteurs ne risquent pas de s’arracher lors de manipulations. Autre possibilité : les tuyaux poreux qui laissent “suinter” l’eau sur toute leur longueur.

.  J’ai également supprimé tous les raccords pour faire une liaison directe entre la pompe et le robinet d’arrêt général. De cette façon toute l’irrigation sur les trois parcelles fonctionne parfaitement.

Une autre solution de distribution :

A partir d’un robinet de parcelle, faire circuler le tuyau d’irrigation en boucle fermée sur la parcelle. Cette solution à pour avantage d’éviter l’utilisation de lyre et permet un équilibrage parfait des pressions sur chaque trou d’irrigation. Il faut pour cela utiliser un tuyau relativement souple. L’inconvénient est l’encombrement du tuyau sur la parcelle et l’impossibilité de gérer l’irrigation ligne par ligne.

A la sortie du robinet réaliser un té qui recevra les deux extrémités du tuyau.

Autre solution
Autre solution

Choisir la pompe

La pompe est raccordée à l’électricité au travers d’un programmateur hebdomadaire ordinaire. Bien sur, ce dispositif est protégé de la pluie. Il faut une pompe auto-amorçante, automatique, avec interrupteur manométrique.

Remarque de Nicolas : Si on se raccorde à l’eau de ville, ce n’est pas un programmateur électrique qu’il faut mais une vanne programmable, installée juste après le départ d’eau. On en trouve à partir de 19 €. Après avoir eu des déboires avec les grandes marques, je ne prends plus que du 1er prix, qui me donne entière satisfaction.

Caractéristiques de la pompe (données constructeur)
Caractéristiques de la pompe (données constructeur)

Capacité d’une pompe (Hauteur manométrique)

Disons qu’il s’agit de la hauteur (totale) d’élévation possible pour la pompe. Cette hauteur théorique communiquée par le constructeur ne tient pas compte des pertes de charge induites par l’installation. il s’agit des pertes de charge moyennes dans les canalisations qui sont fonction de la section et de la nature de la canalisation  mais également fonction du nombre et du type de raccords (coudes, tés, jonctions) présents le long de la canalisation. Pour des installations de petite taille et relativement simples, on évalue les pertes de charge  à 0.1 x longueur (m) de canalisation.

Aux caractéristiques données par le constructeur il faudra déduire cette perte de charge. Afin de minimiser ces pertes de charge, le tuyau en sortie de pompe jusqu’au point de distribution doit être le plus gros possible (Ø 25 intérieur, Ø 32 extérieur) sans raccord intermédiaire.

Dans mon cas, à titre d’exemple:

La longueur du tuyau est de 30m. La perte de charge est de : 30×0.1=3 m

H = 5 m en moyenne (la hauteur d’eau du puits varie de 1 à 10 m)

Donc, la hauteur totale à considérer pour la pompe est de 8 m.

La lecture de ce graphique indique que pour 10 m de hauteur le débit fourni serait de 2,8 m3/h environ. Soit : 2800 l/h

Les goutteurs étant calibrés pour 4 l/h il serait en théorie possible d’alimenter 700 goutteurs.

J’ai environ 10 goutteurs par ligne, 24 lignes donc 240 goutteurs.

Si les trous sont bien tous qualibrés la pompe actuelle suffit.

Pour 10 m de hauteur d’eau la pression  à fournir par la pompe est de 1 bar. La pompe est donnée pour un pression maxi de 4,2 b. La pression disponible à la sortie est donc en théorie de 4,2 – 1 = 3,2 b.

Abaque donné par le constructeur
Abaque donné par le constructeur

Les goutteurs sont prévus pour une pression maxi de 1,5 b. Il faudrait installer un réducteur de pression.

Pour réduire cette pression je diminue le débit à l’aide du robinet d’arrêt général. Je l’ouvre jusqu’à ce que tous les goutteurs des parcelles coulent. Ainsi, circuit ouvert, l’effet de la pression diminue.

Quelques photos pour finir

Pose du tuyau dans sa gaine. Raccordement de tés pour sortie des points d'eau. La gaine verticale sera remplacée par du tube PVC plus rigide et esthétique
Pose du tuyau dans sa gaine. Raccordement de tés pour sortie des points d’eau. La gaine verticale sera remplacée par du tube PVC plus rigide et esthétique
Prendre soin d'enrouler un fil de fer autour du tuyau pour empêcher l'écrou de tomber dans le tube PVC. Il serait alors difficile de le récupérer ! Pour masquer les bavures de découpe, un manchon sera posé par dessus avant la pose du robinet.
Prendre soin d’enrouler un fil de fer autour du tuyau pour empêcher l’écrou de tomber dans le tube PVC. Il serait alors difficile de le récupérer ! Pour masquer les bavures de découpe, un manchon sera posé par dessus avant la pose du robinet.
Chaque année, au mois d'avril, je prépare chaque parcelle avant mes plantations.
Chaque année, au mois d’avril, je prépare chaque parcelle avant mes plantations.
Un large sillon est fait, sur le coté du sillon le tuyau est déroulé et raccordé à la lyre.
Un large sillon est fait, sur le coté du sillon le tuyau est déroulé et raccordé à la lyre.
Le débit de l'eau est vérifié et réglé. Après la mise en place des plans, une épaisse couche de gazon séché est déposée dans le sillon.
Le débit de l’eau est vérifié et réglé. Après la mise en place des plans, une épaisse couche de gazon séché est déposée dans le sillon.
Les lignes d'arrosage sont composées de tube type GARDENA d'un diamètre de 13 mm (1/2"). L'extrémité est repliée et maintenue fermée par un collier rilsan. Un goutteur est placé tous les 50 cm environ.
Les lignes d’arrosage sont composées de tube type GARDENA d’un diamètre de 13 mm (1/2″). L’extrémité est repliée et maintenue fermée par un collier rilsan. Un goutteur est placé tous les 50 cm environ.

Un grand merci à Yves pour ce retour d’expérience très détaillé.

Si vous avez des questions, posez-les dans les commentaires et Yves et moi tâcherons d’y répondre.

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Parce que ce n’est pas facile de réussir son potager naturel à tous les coups, je prépare pour vous chaque semaine :

  • un article pratique où je vous apprends une nouvelle technique de culture que vous pourrez appliquer chez vous,
  • ou une vidéo qui vous montre ce qui pousse maintenant dans mon potager (y compris les ratages et les leçons à en tirer).
lm Général

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Réponses

Les commentaires :
(les plus récents sont en premier)

  1. Claire (Bègles, en Gironde (Bordeaux sud))

    Bonjour, je n’ai vu nulle part d’indication du coût approximatif de telles installations … est-il possible d’en avoir une idée ? Mon potager mesure environ 6mx4m et se trouve à 10m du puits.
    Merci par avance, Claire.

  2. Chantal (Gard)

    Bonjour à tous,
    J’ai depuis longtemps un système d’arrosage automatique avec des goutteurs.
    J’ai recours à une astuce pour que mes plants de tomates, courgettes et autres profitent de toute l’eau possible : sur chaque goutteur je branche un petit tuyau qui va être enterré jusqu’aux racines donc, plus d’évaporation du tout..
    Il est même possible de le rajouter après coup en l’enfilant sur un petit morceau de fil de fer rigide pour l’enfoncer dans le sol et le raccoeder au goutteur.
    Maintenant, pour ceux qui sont intéressés, à vos tuyaux …

  3. Raoul

    merci

  4. Emmanuelle (Touraine. Bac surélevé. En lasagnes)

    Bonjour, j’ai d’abord commencé dans mon potager surélevé par un tuyau d’arrosage ultra solide percé à la perceuse. Au bout de deux ans, il semble que l’eau ne se diffuse plus sur toute la longueur, sans doute un écrasement quelque part. Je vais donc tout déposer une fois les derniers potirons et dernières aubergines cueillis . Je vais le remplacer par du plus solide, peut-être avec des goutteurs (où les trouver?) . Le but était l’irrigation par en dessous à partir de l’eau du puits. Il y a une quinzaine de mètres à couvrir. Je n’ai pas compris où acheter le matériel: tuyaux solides percés ou goutteurs.

    1. nicolas (Toulouse)

      Bonjour Emmanuelle,
      Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris : vous souhaitez un tuyau qui est posé en surface ou bien enterré dans la terre ? Si oui à quelle profondeur ?

      Avatar de nicolas
      1. Emmanuelle (Touraine. Bac surélevé. En lasagnes)

        Bonjour. C’est pour irriguer par en dessous, donc enterré un potager surélevé (En trou de serrure, culture en lasagnes). Je ne peux pas ajouter une photo. Au départ, on a mis un tuyaux d’arrosage percé tous les 30 cms. Mais il s’est affaissé avec le poids de la terre. Du coup je vais le retirer et je souhaite le remplacer par un tuyaux moins écrasable, si possible avec les goutteurs intégrés ou non. Pourriez-vous me dire votre fournisseur pour ces produits? Merci

        1. nicolas (Toulouse)

          On en trouve dans toutes les jardineries et magasins de bricolages. Par exemple ici : https://www.leroymerlin.fr/produits/chauffage-plomberie/circuit-alimentation-en-eau/tube-et-raccord-alimentation/tube-alimentation/tuyau-arrosage-avec-goutteur-integre-geolia-6420380q-l-25-m-diam-13-6-mm-67837035.html

          Ils vendent aussi les raccords, bouchons, coudes et tés qui vont avec.
          Si la pression d’arrivée d’eau est supérieure à 2 ou 3 bars, il faudra intercaler un réducteur de pression.

          Avatar de nicolas
  5. Bernard

    Bonjour
    J’ai une réserve d’eau (600 litres) à un mètre au-dessus du sol avec une pente du jardin de 10%, longueur du jardin :15 mètres .est-ce que par gravité la pression serait suffisante pour irriguer jusqu’au bout avec un tuyau souple perforé ?(diamètre des trois et du tuyau ?)
    Merci
    Cordialement

  6. Elisabeth

    Bonjour Nicolas
    Il y a 2ans, j’ai mis en place une irrigation aromatique dans mon potager avec du tuyau poreux mais le tuyau est de devenu imperméable à cause d’une eau très calcaire.
    Pouvez-vous me dire comment je peux éliminer ce calcaire sans causer des dégâts aux cultures.
    Merci pour votre réponse
    Cordialement
    Élisabeth

    1. nicolas (Toulouse)

      Bonjour Elisabeth,
      J’ai peur que le tuyau soit irrécupérable. C’est l’un des gros inconvénients de ce genre de tuyaux.
      Je préfère les tuyaux à goutteurs intégrés (tous les 30 cm), ils sont quasiment indestructibles.

      Avatar de nicolas
      1. Elisabeth

        Merci pour la réponse. C’est bien ce que je craignais.

      2. Emmanuelle (Touraine. Bac surélevé. En lasagnes)

        Bonjour Nicolas. Où acheter ces tuyaux à goutteurs intégrés. Le mien sera enterré

  7. Catherine

    Je trouve cela franchement délirant : tout ce matériel, tout ce labeur à creuser des tranchées, pour aboutir à des risques de fuites et seulement 60 m2 de potager…

    1. Jolindien

      Bonjour.
      Une autre chose que je trouve “Délirante”, c’est d’envoyer des commentaires sans commencer par un petit “bonjour”. Un peu de savoir-vivre ne nuirait en rien votre critique.

  8. Jocelyne

    Bonjour Nicolas,
    Vous ne parlez pas du système Poritex que j’ai mis en place depuis une quinzaine d’années. Il fonctionne en basse pression et donc une réserve d’eau légèrement surélevée ou placée sur un support suffit à arroser. Le système d’arrivée d’eau est identique à celui décrit mais les tuyaux sont des rubans de tissu microporeux plats quand ils sont inutilisés, se gonflent avec l’eau. Pas de risque de bouchage des trous et hypersolide. Le problème est que le fabriquant (en Andorre) ne vend plus directement et cela a été repris par un revendeur en Belgique. Chez moi cela fonctionne avec la réserve d’eau de pluie et quand la réserve est vide, je branche sur le circuit ville à très petit débit.

  9. Brigitte

    Bonjour Nicolas !
    Misère ! Un dimanche matin qui comptera ! Le temps de compter de 20 à 30 à chaque pied de courgettes, concombres, et tomates !!! je suis très loin du compte, ce qui semblerait expliquer bien des choses ! :-)
    Je rêve d’un système d’arrosage, mais nous ne sommes même pas autorisés à utiliser le tuyau ! Dépense démentielle pour la commune.
    L’ARROSOIR !!! Un, au bout de chaque bras, et retour à la borne d’eau ….
    Mais après cette nouvelle, je vais faire un peu PLUS d’effort.
    Les mauvaises herbes sont sages, il y a plus de temps.
    Il est vrai aussi, que Rouen n’est pas Toulouse, et la vraie canicule ne devrait pas durer longtemps.
    Merci beaucoup pour ce billet.
    P.S. Est-il vrai que passé juillet, il n’y a plus risque de mildiou ?

    1. nicolas (Toulouse)

      Bonjour Brigitte,
      Il faudrait expliquer à la commune que le goutte-à-goutte est beaucoup plus économe en eau…
      Pour le mildiou, c’est plutôt le contraire : il apparaît généralement en deuxième partie d’été, quand le temps humide revient.

      Avatar de nicolas
      1. Brigitte

        Merci pour votre réponse Nicolas.
        Je vais transférer votre remarque à Mr le Maire …:-))

        Merci aussi de m’enlever mes illusions de belles récoltes de tomates ! Si je peux profiter des premières, ce sera un moindre mal …
        Certains pieds ont trop de tomates sur une même branche. Ai-je abusé de l’engrais à la plantation ? (fumier + algues) J’en retire pas mal, d’instinct, sans savoir si je fais bien.

        1. nicolas (Toulouse)

          Les “tomatiers” ne sont pas des poiriers ni des pommiers : il n’est pas besoin d’enlever des fruits qui seraient en surnombre.
          Par contre si vous craignez que la branche qui les supporte ne tienne pas le coup, vous pouvez les soutenir en nouant un filet à pommes de terre ou un vieux bas en nylon.

          Avatar de nicolas
          1. Brigitte

            J’ai bêtement pensé que le nombre serait au détriment du goût…
            Merci de m’avoir rassurée, une fois encore.

  10. Philochard45

    Impressionnant ! Je retiens pour ma part la solution de la boucle fermée (pb de basse pression).
    Merci à vous pour la qualité de votre reportage

  11. vava

    top! c’est clair , précis, sans pub, j’achèteeee….

  12. BERNARD

    merci très intéressant et utile

  13. ernest

    bonjour et beau travail
    ça m’a peut-être échappé mais si l’eau sort du puits, elle est froide et les légumes n’aiment pas trop ?
    cordialement

    1. jean pierre

      l’eau d’un puit et environ de 10° été comme hiver c’est sur que si il fait 30° arroser plutôt fin de soirée.
      Salutation les amis.

  14. Mélanie

    Bonjour Nicolas,
    pour les petits potagers et petites plantations, as tu deja entendu parler des oyas? c’est une sorte de jarre de terre cuite poreuse qu’on enterre jusqu’au col, qu’on remplit d’eau et qui diffuse progressivement l’eau dans le sol au niveau des racines (et en plus c’est fabriqué en France : http://www.oyas-environnement.com/). je compte en commander pour chez moi (en Belgique.. pas souvent besoin d’arroser, mais ca arrive! ahah).

  15. Bruno

    Bonjours, je suis jardinier dans une commune et dans mon potager j’utilise le meme système que dans ma commune, des arroseur goutte à goutte 16mm une simplicité de mise en place avec 1 arrivée d’eau pour mes 2 serres et un coup médiocre 150€ environ.

  16. jean-paul

    Bonjour! Perso=utilisation des diam.12.5-13mm poreux.Pratiques;attention aux qualités “asiatiques” peu chères de certaines G.surfaces…Aiment :le plat,P=1à 1.5bar maxi.Proximité obligatoire du plant (V
    d’imbibition peu large…) Peuvent “s’encrasser” par fines argileuses présentent dans l’eau :filtre de tête possible .Perso=réducteur/pression adéquat +programmateur (l’ami Gardena/Husqvarna très fiable/longue durée à pile=+ solide que
    les bas tarifs .(j’ai eu des raccords rapides neufs inutilisables…des tuyaux poreux aussi…).Reflexion idem à Nicolas=si eau à PH < à 6 (sols acides=schistes,granites) =tous accessoires en pvc type eau potable.
    (ici même le cuivre arrive à défunter…avantage =il "cuivre" l'eau d'arrosage…(sulfate de cu=bouillie b….!..)

  17. Catherine

    Bonjour Nicolas,
    J’aime la clarté de toutes vos explications mais je dois dire que je n’aime pas celles d’Yves malgré toute cette ingéniosité! C’est très bien étudié mais beaucoup trop sophistiqué pour moi!!
    Je fais pousser mes tomates pour le plaisir, pas de façon industrielle, et je récupère l’eau de pluie (je vis dans l’Ain) dans 2 bacs et je me sers de mon arrosoir. J’aime ainsi prendre le temps de déambuler autour des plants, de les observer de près. Bref, je n’ai pas envie de m’encombrer avec toute cette installation et de plus, en paillant bien, les plants se débrouillent seuls!!

  18. Noëline

    Bonjour, j’ai reçu une parcelle de terrain dans un potager communal mais sans aucune connexion à l’eau courante. Seules les 2 cabanes à outils communes ont une gouttière qui permet de recueillir l’eau de pluie dans des grands tonneaux mais ceux-ci sont rapidement vidés par la collectivité. Le système D est donc d’application pour arroser nos parcelles. Personnellement j’ai mis en place une sorte de tente avec une bâche sur des tuteurs croisés et, attachées au bas de chaque côté de la toile, des gouttière en pvc aboutissant dans de grandes poubelles de 80L. Bon système mais pas toujours suffisant en cas de sécheresse prolongée.
    Si des lecteurs ont d’autres idées simples pour recueillir l’eau de pluie cela m’aiderait et me ferait vraiment plaisir qu’ils les partagent sur ce forum.

  19. EMERUSENGE Emery

    Je voudrais savoir l’outil que l’on peut utiliser pour percer les tuyaux car au Burundi avoir des tuyaux avec gouttières est très difficille

  20. Marie-Christine

    Bonsoir, j’ai vu avec intérêt la magnifique installation d’Yves… Les solutions de Nicolas me semblent cependant plus simples dans un premier temps. Reste un problème pour moi : j’ai un puits…mais l’eau est à une profondeur de 17 m. Quel type de pompe dois-je acheter, et où ? Si vous aviez la solution, j’en serais ravie, cela me permettrait d’éviter d’utiliser l’eau de la ville. Autre question : si je trouve la pompe adéquate, comment programmer les moments d’arrosage en cas d’absence ? J’ai acheté un programmateur pas cher, que j’ai branchê sur le robinet d’eau de ville, ça marche. Mais en cas d’utilisation de l’eau du puits, où le brancher ?
    Enfin, toujours pas de réponse concernant le lancinat problème de l’oxalys, qui grouille, pullule et se multiplie chaque jour un peu mieux dans mon potager, malgré d’exténuantes heures de tentative d’extermination manuelle🤪😜
    Merci pour toute suggestion !

    1. Joseph

      Bonjour,
      Pour une pompe adaptée et moins chère, je vous conseille le site Giunti Elettromeccanica (2 à 3 fois moins cher qu’en France, e-mail : info@giuntielettromeccanica.com) Envoyer un mail, en Italien, en leur expliquant vos besoins, ils vous dirons la pompe qu’il vous faut (si vous ne parlez pas Italien, utiliser un traducteur google ou autre). Possibilité de livraison en France.

  21. Bénédicte

    Pffff c’est très très compliqué pour moi :-(
    Domage :-(

  22. Marie-Françoise

    cela me parait bien compliqué

  23. PHILIPPE

    je fais comme Brigitte et tout va bien. Les tomates bien paillées n’ont pas besoin d’eau et pourtant j’habite dans l’Hérault où il fait chaud (pas encore, cette année) Le système proposé me semble compliqué et cher…Merci à tous et bonnes récoltes.

    1. Maryse

      Bonjour à vous !!!
      Juste une petite question : quel genre de paillis utilisez-vous ?? Paille, foin, paillettes de chanvre ou autre ?!!

      1. apilou (moyenne Belgique)

        Bonjour,
        tonte de pelouse, tonte de haie et foin broyée à la tondeuse, paille de lin venant du poulailler. En se mélangeant cela forme un compost à la longue.

  24. Annette

    Très intéressant, un peu compliqué, certainement onéreux… J’habite en Touraine et il y pleut … assez souvent sauf les 2 mois d’été … je cherche une solution plus simple. Si certains ont des idées….
    PS : Sommes nous 2 Annette à suivre le blog de Nicolas ?

    1. Mélanie

      Je compte essayer ceci : http://www.oyas-environnement.com/

      1. Françoise

        bonjour pour les oyas c’est une solution mais il faut tenir compte que ça irrigue environ 1.2 m en tout et en ce moment je les remplis tous le jours bien qu’il ait une bonne dimension

  25. brigitte

    pour ma part, j’apprends à mes légumes à vivre sans eau autant qu’ils le peuvent. Pour tout ce qui se plante ou replante, je remplis autant qu’il en rentre le trou que je fais plusieurs fois pour que l’eau aille bien en profondeur, ensuite je plante et je recouvre de paille épaisse. Je n’arroserai plus maintenant qu’en cas de canicule prolongée (testé l’an passé avec réussite). Pour ce qui se sème, j’arrose tous les jours jusqu’à ce que les plantules apparaissent, et les quelques jours qui suivent, ensuite paillage épais et arrosage si trop de chaleur prolongée. Je garde mes graines d’années en années , celles ci vont garder la mémoire des conditions de cultures et demanderont de moins en moins d’eau pour vivre et prospérer

    1. Brigitte d’Aix

      Je ne savais pas que les graines avaient de la mémoire. C’est une info que vous avez pu constater expérimentalement ? Y a t’il de la bibliographie sur le sujet ?

  26. Anne

    Bonjour,
    Vous nous aviez montré une solution plus simple, enterré à 30 cm, avec des tuyaux agricoles, il suffisait de remplir d’un bout et la réserve d’eau suffisait pour quelques jours.
    Ce n’est plus valable ?

    1. Nicolas (Toulouse)

      C’était pour un carré potager beaucoup plus petit et rendu étanche avec une bâche. Vous pouvez revoir l’article ici : https://potagerdurable.com/potager-en-carre-reserve-d-eau-wicking-bed
      L’article d’aujourd’hui concerne les potagers plus grands.

      Avatar de Nicolas
  27. Bruno

    Vous etes bien compliqué, moi je pompe l’eau de mon puit dans une cuve d’un mètre cube afin de ne pas arroser directement, l’eau du puit étant trop fraiche, j’ai placé ma cuve en hauteur par rapport a mon potager et j’arrose
    tranquillement par gravité point barre avec vos installations on pourrait se croire dans une centrale nucléaire……

    1. Floriane

      Bonjour, à quelle hauteur au dessus de votre potager est votre cuve SVP? Et quel sont les caractéristiques de votre système d’irrigation (tuyau microporeux, tuyau percé (diamètre des trous…) Merci d’avance. Floriane

      1. Nicolas (Toulouse)

        Voici les infos sur mon système d’irrigation (qui n’est pas celui décrit dans l’article, je le précise pour éviter tout malentendu).
        Il est connecté à l’eau de ville via un programmateur. Il est composé de tuyaux de diamètre 16mm à goutteurs incorporés tous les 33cm. Ces tuyaux sont raccordés en “râteau” à la ligne principale, ils courent le long de mes planches de culture et sont espacés entre eux de 40 cm.

        Avatar de Nicolas
    2. Jolindien

      Bonjour.
      Est-ce également compliqué de commencer son commentaire par un “bonjour”?

  28. Norbert

    En réponse au choix d’une pompe immergée ou pas, je vais vous donner ma façon de faire en essayant de ne pas commettre les horribles fautes de Français provoquées par ce système d’écriture automatique.
    Mon puits fait environ 8 m de profondeur…
    Une simple pompe vide cave suffit amplement (bloquer le flotteur vers le haut)
    1) si la pompe est immergée, la pression de la colonne d’eau permanente détruira bien vite votre pompe..
    2) mon astuce est d’empêcher la pompe d’être complètement immergée et j’y mets une chambre à air de brouette autour. Le tuyau, de plus de 8 m suit la pompe qui descend suivant le niveau de l’eau. Ma pompe à plus de50 ans et fonctionne comme au premier jour. Étant dans le fond, elle peut même envoyer l’eau bien plus haut que les 7,60 m théoriques.
    Bonne chance.
    Norbert

  29. Norbert

    Très beau tout ça, mais à combien vous revient une salade ? Que de matériel, quelle complication. Moi, j’utilise uniquement du bête tuyau d’arrosage , coupé tous les 50cm avec des raccords goutte à goutte achetés en Israël pour quelques CRS pièce. Une minuterie met en fonction ma pompe du puits 2x 1/4 d’h par jour. Je me suis fait un plaisir de fabriquer pour 5 € un testeur d’humidité qui empêche le fonctionnement de la pompe quand la terre est assez trempée (indispensable isnt’it).
    N.B. Utiliser des tuyaux très sombre, car à la longue, des algues vertes se développent dans ces tuyaux et finissent par Bouchet les compte gouttes ( nettoyer 1x/an à l’eau de javel et le tour est joué.
    Depuis quelques années, je travaille en permaculture…formidable, plus ou peu de mauvaises herbes, MAIS une foule de limaces passe l’hiver bien au chaud dans les déchets sous la terre humide et, malgré les appâts, se font un plaisir de manger les tiges des légumes repiqués sous la surface de la terre. Immense problème .
    J’aime vos articles et les lis avec plaisir.
    La bataille de tous les jardiniers est : les maux de dos, les limaces et escargots, les pucerons, les fourmis, les mousses dans les pelouses, l’oidium, les taupe, les chats…et j’en passe et des meilleurs.
    Bonne cultures et bien à vous les courageux.

    1. Olivier

      Comme vous, mon sol protégé l’hiver est un abri idéal pour les limaces. Peu de jeunes plants résistent au printemps, particulièrement les salades et cucurbitacées. Je dois écarter le paillage des pieds, et mettre parcimonieusement du Ferramol… + quelques coupelles de bière.
      Si vous avez d’autres idées…

      1. Françoise

        Je viens d’essayer de mettre des boites à oeufs je les humidifie et j’attends que les limaces viennent se mettre dans les alvéoles
        pas beaucoup de résultats pour l’instant mais sue une vidéo ça fonctionne
        pourquoi pas ?
        bon courage

    2. Pascal

      Salut Norbert.
      Peux-tu expliquer comment tu as fabriqué ton testeur d’humidité?
      Merci.

    3. Anne-Claire

      Norbert, où avez-vous acheté vos goutte à goutte israeliens? Vous avez une adresse internet de magazin?

      1. Norbert

        Salut Pascal,
        Système bricolé personnellement. Je ne sais pas comment faire passer un plan sur ce site, mais je te donne mon adresse mail et dès que je recevrai la tienne, je t’enverrai le plan. Bien le bonsoir.
        Si alimentation d’une pompe, un programmateur simple suffit pour lancer l’eau.
        Si alimentationeau de ville, pense aux vannes électromagnétiques qui admettent l’arrivee d’eau quand le programmateur laissera passer le courant. Free of taxes .

      2. Norbert

        Anne Claire, bonsoir,
        Ces goutte à goutte ont été achetés en 1980 lors d’un voyage Belgique Israël en camping car.
        Il y a moyen de les trouver en boutique de bricolage, mais cher. Un autre système est de percer des trous avec une aiguille rougie au feu et pas plus, les trous vers le sol afin de ne pas mouiller les alentours. On peut aussi serrer à chaque trou un petit morceau de tissu qui empêchera éventuellement la terre de reboucher le trou lors du retour de l’eau.
        Un conseil pour les tomates : afin d’avoir de longues et belles racines, ne pas arroser avant plusieurs jours après plantation. Les plants seront leurrés et enfonceront leurs racines pour aller chercher l’humidite.

  30. annette

    Magnifique installation mais….
    Comment arroser un potager en carré sans y passer des heures ?
    Les carrés sont entre 40 et 60 cm de haut.
    merci à la personne qui a une solution !

    1. Nicolas (Toulouse)

      On peut très bien automatiser l’arrosage d’un potager en carrés comme je l’ai fait chez moi.
      J’avais montré cela dans cet article : https://potagerdurable.com/arrosage-automatique-potager-en-carres

      Avatar de Nicolas
  31. Gérard

    Bien pensé……………c’est certainement une des meilleurs techniques pour l’économie d’eau et aussi à l’efficacité de l’arrosage.Perso je suis branché au goutte à goutte en aérien sur un cuve en moins grand et que pour les tomates.

  32. Madeleine

    Merci pour cette documentation. Très utile.
    Je le ferai l’année prochaine.
    Très bien expliqué .

  33. armand

    Parfait merci. quel travail!

  34. Sissi 13

    Je ne sais de quand date cet article mais je le trouve intéressant et bien détaillé. J’ai opté dans mon petite potager pour des tuyaux microporeux reliés à une électrovanne commandée par un programmateur et j’utilise l’eau de la ville.
    Mon souci c’est comment faire pour ne pas abimer mes tuyaux au printemps quand j’aère mon potager. De plus, ma parcelle n’est jamais nue car j’ai des plantes qui sont pérennes ( tanaisie, soucis, menthe et aromatiques, oseille).
    Dois-je les retirer à l’automne ? Comment faites-vous chez vous ?

  35. Bobby

    Bonjour,
    Qu’elle est l’astuce pour emmancher les coudes les tés en
    force dans les tuyaux noir lisses de 13 car je n’y arrive pas
    Faut-il chauffer un peu le tuyaux ?
    Du savon sur le coude ou le té ?
    Merci d’avance.
    Bobby

    1. Nicolas (Toulouse)

      Mon truc, c’est de préparer une petite casserole d’eau bouillante à la cuisine. Puis je l’emmène au jardin et juste avant d’emmancher un raccord, je trempe l’extrémité du tuyau pendant 30 secondes.
      Ça fait ramollir le plastique et ça rentre tout seul !

      Avatar de Nicolas
    2. mf

      un petit coup de décapeur thermique c super …

  36. Bellec Jean-Pierre

    C’est fait, je viens de terminer l’installation identique aux bons conseils d’Yves.
    Son invention était tellement parfaite que je n’ai rien changé.
    C’est du copier coller hors mis une protection sur les lyres pour éviter que le soleil ne détériore le plastique.
    Est il possible de poster une photo?
    Encore merci beaucoup à Yves.
    Jean-Pierre.

  37. Jean-Pierre

    Bonjour,
    Bravo et merci pour cet article.
    Joli travail, c’est vraiment bien pensé.
    Je suis en phase de réalisation pour l’arrosage de mon potager et ça me donne de bonnes idées.Pourriez vous me dire si vous êtes satisfait de la lyre aquaflow .Dans le détail de vos dépenses vous indiquez si je ne me trompe 10€ par lyre,pourriez vous me dire chez quel vendeur.
    A bientôt pour d’autres échanges en particulier sur le jardinage sans labour que j’ai pratiqué pendant 7 ans.
    Cordialement.Jean-Pierre.

    1. Nicolas (Toulouse)

      Cet article n’a pas été écrit par moi-même mais par un lecteur du blog.
      Je n’ai donc pas la réponse à votre question et j’en suis bien désolé.

      Avatar de Nicolas
  38. Nicolas

    Ok, merci pour votre réponse.
    Si je trouve une réponse , je la poste pour partage ;)

  39. Nicolas

    Bonjour,
    Tres bel article,
    Après de nombreuses recherches je ne trouve pas de réponses à ma question.
    Je possède une cuve souterraine de récupération des eaux de pluie ( gouttières) . Env 10m3 je pense.
    Mon potager ce situe en bas du terrain. L’année dernière j’avais un système de gaine perforées 6 rangs de 5 mètres branché sur le robinet du jardin que je tournais au minimum pour pas que ca éclate ;)
    Ma question est la suivante, la pompe de relevage que j’ai utilisé ( dans la cuve) pour remplir la piscine semble avoir un débit énorme ( pour ma gaine) en rapport au débit d’un robinet tourne d’un quart de tour…..
    Auriez vous des conseils , des idées sur la façon d’utiliser cette cuve sans tout exploser ma gaine.
    Merci pour vos retours.
    Cordialement
    Nico

    1. Nicolas (Toulouse)

      Je ne suis pas spécialiste mais il me semble qu’un réducteur de pression est indispensable.

      Avatar de Nicolas
    2. didier

      créer une boucle de retour vers la réserve d’eau
      on régule la pression dans cette boucle par un robinet en sortie sur le retour d’eau vers la réserve.
      les dérivations pour les planches de culture sont faite sur cette boucle

  40. Plombier Paris 4

    Rien à dire. Article bien détaillé et largement expliquée. Merci pour le partage de qualité.

  41. Mohamed

    Très utile!

  42. Marcel

    j’ai lu cet article avec intérêt car je suis en train d’aménager mon potager, et j’avais pensé à un système d’irrigation similaire, mon problème étant que je possède une source avec une pompe immergée, j’ai donc branché ma pompe sur une prise avec interrupteur que je peux actionner à tout moment Joli travail pour cet article et beaucoup d’idées à reprendre

  43. Irène

    Bonjour, très intéressée par votre article- mais pour mon cas je ne sais pas ce que nous pourrons faire: nous remplissons des citernes de récupération avec l’eau d’un ruisseau etune pompe aspirante; et à nous les arrosoirs!!! aussi notre question est: serait-ikl possible de brancher de des tuyaux micro-poreux.merci d’avance de vos conseils. Irène

  44. christiane

    super réalisation !j’utilise une cuve de récupération d’eau munie d’un robinet à 2 voies. 1 tuyau plein est branché à tour de role sur des tuyaux porreux qui irriguent chaque rang des parcellesles + proches. Pour les parcelles les plus éloignées il n’y a pas assez de pression . J’utilise alors l’autre voie avec un tuyau plein(pour les tomates qui ont besoin de plus d’eau mais moins souvent.) j’aurais bien aimé pouvoir programmer l’arrosage mais je ne sais pas si c’est possible sans prise à proximité. un petit panneau solaire pourrait il faire l’affaire?

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